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Les news de l'association

[News] : La société de cosmétiques Lush vandalisée.

Ecrit le : 27/11/2009

En GB la société de cosmétiques Lush est vandalisée après le lancement de sa campagne contre la chasse à courre.
Certains condamnent les saboteurs de chasse pour leur volonté à libérer les animaux en pratiquant la non violence active mais que penser de cette minorité de chasseurs qui se permet de faire peur à d'honnêtes citoyens qui sont sans défense comme les animaux qu'ils ont l'habitude de tuer.
N'ayant plus aucune sensibilité ces chasseurs se permettent de faire des menaces et de vandaliser. N'oublions pas qu'ils ont un permis pour tuer.



Voici l'article "Cosmetics company Lush is attacked by vandals after launching anti-fox hunting campaign" puplié dans le Daily Mail, 19 Octobre 2009

Traduction : Tania Ricci

Les magasins Lush de plusieurs centre villes ont récolté des dizaines de milliers de livres sterling destinés aux activistes déterminés à mettre un terme à la chasse au renard par le biais d’une « action directe ». Les partisans de la chasse au renard ont dès lors réagi avec violence à l’encontre de la chaîne de savons Lush, détruisant des étalages, saccageant les vitrines et menaçant le personnel.

Cette réaction violente survient au moment où le Parti Conservateur a révélé que l’interdiction de chasse à courre, votée 2004, pourrait être abrogée et un organisme de surveillance serait mis en place afin de minimiser la souffrance des animaux victimes de la chasse.

La chaîne de magasins Lush est devenue la cible des partisans de la chasse à courre suite à son soutien à l’association des manifestants anti-chasse (Hunt Saboteurs’ Association, HSA), laquelle utilise la « non-violence pour protéger les animaux ». Elle estime en effet que la police n’en fait pas assez pour éliminer la chasse à courre.

La semaine dernière, des partisans de la chasse ont pris d’assaut les magasins Lush dans tout le pays. Par trois fois, à Chelmsford, dans le comté d’Essex, un homme a saccagé un étalage de pastilles pour le bain Fabulous Mr Fox [ndt. Merveilleux Mr Renard] - des pains de savon pour le bain parfumés à base de menthe poivrée, que la société met en vente pour soutenir la HSA.

La responsable du magasin, Sue McKenna a déclaré : « Il s’est d’abord présenté le mardi, a renversé toutes les pastilles et les brochures et a annoncé qu’il reviendrait tous les jours tant que la campagne ne cesserait pas. Ensuite il est sorti. Lorsqu’il est revenu la troisième fois, un officier de police en civil se trouvait dans le magasin et lui a enjoint de partir. C’est alors que nous avons appelé la police. »

Hier, Lush a publié la photo de l’homme qui aurait saccagé les étalages et déclaré au personnel qu’il reviendrait « sans relâche » tant que le magasin continuerait à promouvoir la HSA.

À Maidstone, dans le Kent, c’est un kebab qui a été étalé sur la devanture d’un magasin et une injure gravée sur la vitrine.

À Taunton, dans le Somerset, on a reçu un avertissement anonyme invitant le personnel à « se tenir sur ses gardes ».

Les panneaux d’affichage publicitaire de la campagne ont également été recouverts d’autocollants sollicitant à « Continuer à chasser » ; certains de ceux-ci apparaissent sur des photos publiées sur le forum de discussion en ligne du magazine Horse & Hound.

À Manchester, des membres de la HSA avaient été invités dans le magasin Lush pour y distribuer des dépliants, mais quelques jours avant l’événement, un homme a averti le personnel qu’ « il y aurait du grabuge » si cela se produisait - la distribution s’est pourtant passée sans encombre.

À Plymouth, des autocollants de la Countryside Alliance ont été apposés sur la vitrine du magasin. La Countryside Alliance s’est toutefois distancée de ces attaques et a exhorté ses partisans à ne pas cibler les magasins. La Countryside Alliance, qui milite pour légaliser à nouveau la chasse à courre, a encouragé ses sympathisants par cette déclaration : « Il est important de prendre conscience du fait que la communauté rurale est profondément contrariée par la décision malavisée de Lush de soutenir l’association des militants anti-chasse ; toute protestation directe, abusive ou tactique, qu’elle soit légale ou pas, ne se justifie pas et la Countryside Alliance ne défendra en aucune façon de telles actions. »

Un porte-parole de Lush a affirmé que la société est imperturbable et lancera bientôt une campagne de cartes postales dans ses magasins dès la fin de la semaine, afin d’inciter les clients à écrire aux responsables des forces de police pour que soit mise en application l’interdiction de chasse au renard.

Sur le site Internet de Lush sont mentionnées les raisons pour lesquelles la chaîne soutient les militants anti-chasse par la vente de ses pains de savon parfumés à la menthe poivrée, au prix de £2.95 (env. 3€20).

Voilà l’explication : « En Grande-Bretagne, la chasse continue à terroriser la vie sauvage. La police ne fait pas de cette mise en application une priorité ; la chasse est devenue une routine. Voilà pourquoi nous avons besoin, aujourd’hui plus que jamais, de nos amis de la HSA. »

Sean Gifford, le responsable des campagnes de Lush, a déclaré : « Lush, ainsi que les manifestants anti-chasse, espèrent en un futur où il n’y aura plus de chasse illégale et où l’on ne tuera plus les renards par amusement. La grande majorité du public britannique voudrait en finir une fois pour toutes avec ce sport sanguinaire. Nous ne nous laisserons pas intimider, nous continuerons à utiliser nos magasins pour intervenir en faveur de problématiques qui nous tiennent à cœur - les droits de l’homme, la protection de l’environnement et les droits des animaux - parce que ce sont de justes causes. »

Les manifestants anti-chasse expliquent qu’ils perturbent les parties de chasse en créant de fausses pistes et en distrayant les chiens avec des cors de chasse ; les chasseurs, quant à eux, affirment que les perturbateurs les font tomber de cheval.

L’an dernier, la société Lush, fondée par Mark Constantine, a fait des dons de plus de 500.000 livres (env. 550.000€) à des œuvres de charité et à des groupes de pression. En décembre 2008, elle a payé les frais de justice des 56 manifestants de Plane Stupid qui ont fait irruption dans l’aéroport de Stansted, retardant ainsi des milliers de passagers.

Les conservateurs ont promis de mettre en place un vote libre sur la chasse s’ils gagnent les élections du printemps, s’assurant ainsi une abrogation rapide de l’interdiction et évitant le marchandage parlementaire prolongé qui avait caractérisé sa présentation.
Le secrétaire à l’environnement de l’opposition Nick Herbert a affirmé hier que le parti n’avait encore pris aucune décision quant à un éventuel court projet de loi abrogeant la loi de 2004 des conservateurs sur la chasse ou à la possible introduction d’une nouvelle structure de protection visant à réguler la chasse dans le futur.

À la question de savoir si les conservateurs voudraient revenir à la situation telle qu’elle était avant l’interdiction, Mr Herbert a déclaré au cours de l’émission Today sur la chaîne radiophonique BBC Radio 4 : « Je ne pense pas que la plupart des gens pensent que nous allons simplement revenir à cette situation. Les fédérations de chasseurs ont travaillé à une proposition visant à mettre en place une sorte d’autorité de contrôle. Je pense que le public veut s’assurer que les sports en campagne, y compris la chasse, soient menés de manière conforme, et que la souffrance des animaux soit limitée. »

Cependant, aucune décision finale n’a été prise quant à la forme que prendra une éventuelle abrogation de loi. Il a affirmé : « Cela n’a pas encore été décidé. Nous avons simplement répété qu’il y aurait un vote libre et que nous lui accorderions du temps. »

[Info] : L’éthique de Body Shop controversée après l’expulsion de paysans colombiens

Ecrit le : 25/11/2009

Voici un article très interessant : Body Shop ethics under fire after Colombian peasant evictions traduit par Tania Ricci - , 13 septembre 2009

Les critiques s’acharnent sur la firme de cosmétiques pro-environnementale après la destruction d’une exploitation colombienne par un de ses fournisseurs pour y cultiver de l’huile de palme et suite à l’intervention de la police antiémeutes pour accélérer l’expulsion des agriculteurs.

Body Shop, le géant de la cosmétique qui déclare obtenir ses ingrédients par le biais de compagnies respectant les droits des agriculteurs locaux, achète de l’huile de palme auprès d’une organisation impliquée dans l’éviction de familles d’agriculteurs dans le but de développer de nouvelles plantations.

Daabon Organics, une firme colombienne alimentant à hauteur de 90% la chaîne britannique en huile de palme, faisait partie d’un consortium qui avait participé à l’expulsion judiciaire d’agriculteurs de leur vaste exploitation, située à 320km de Bogotá, dans l’optique d’y cultiver des palmiers à huile. C’est en tenue antiémeute que la police a chassé les agriculteurs au mois de juillet.

À présent, les avocats des 123 cultivateurs et de leurs familles contestent cette décision, soutenus par une association humanitaire britannique. Ils affirment que certains agriculteurs locaux ont vécu et travaillé sur ces terres pendant plus de 10 ans et avaient déjà engagé une demande d’acquisition de ces biens sous la loi colombienne avant l’achat par le consortium.

Cette révélation plonge dans l’embarras Body Shop, qui affirme respecter les droits des cultivateurs locaux dans les pays en développement et qui, chaque année, utilise l’huile de Daabon pour la fabrication de quelque 7,5 millions de savonnettes. Ces faits mettent également en lumière les nombreuses querelles mondiales entre les agriculteurs et les sociétés productrices d’huile de palme, alors que ce produit se révèle de plus en plus rentable.

« Au vu de ce conflit, lBody Shop devrait reconsidérer sa décision d’acquérir de l’huile de palme auprès de Daabon », explique Catherine Bouley, de Christian Aid, qui soutient l’action en justice des agriculteurs. « Le gouvernement colombien voudrait tripler la surface de culture de palmiers, ce qui ne fera qu’exacerber le problème du déplacement ». La controverse a débuté en décembre 2006, lorsque la filiale de Daabon, CI Tequendama et une société associée, ont acheté Las Pavas, une exploitation de 1.100 hectares dans la province de Bolívar. Le consortium a lancé un avis d’expulsion en janvier dernier, qui a été mis en application en juillet.

Selon les avocats des cultivateurs, le consortium était au courant que ces terres étaient le lieu de résidence de ces familles, qui pendant plus de dix ans, y ont cultivé diverses céréales, dont le plantain, le maïs et la courge.

Les agriculteurs affirment qu’ils avaient déjà été forcés de quitter ces terres par des groupes paramilitaires au cours de l’année 2006, mais y étaient revenus six mois plus tard en introduisant une proposition légale d’acquisition définitive. Selon la loi colombienne, la propriété peut être accordée aux agriculteurs ayant occupé des terres abandonnées pendant plus de trois ans.

Banessa Estrada, avocate des paysans, déclare que les familles avaient formé une coopérative et soumis une demande officielle pour ces terres courant 2006, soit bien avant l’achat par le consortium. « Cette expulsion est illégale, car elle n’a pas tenu compte de la revendication de ces terres de la part des cultivateurs », explique-t-elle.

D’après certains militants, une autre compagnie s’était intéressée à l’achat de ces terrains en 2006, mais y avait renoncé suite à des altercations avec les paysans.

Un petit groupe d’agriculteurs est retourné sur les lieux de l’exploitation la semaine dernière pour la première fois depuis l’expulsion, accompagné d’un journaliste.

Misael Payares, chef de l’association paysanne, montre une série d’arbres abattus sur le côté d’une nouvelle route. « Voilà ce que fait une entreprise qui se déclare écologique », dit-il.

Selon Ader Rojas, qui cultivait du plantain dans l’exploitation, une grande partie des terres a été détruite. Le refuge en bois qu’il avait construit à proximité des terrains a été démoli et un marais tout proche asséché. « C’était tout ce que j’avais », dit-il.

Les paysans expulsés campent dans la cour de l’école d’un village voisin. Ils préparent sur des feux de camp des repas composés de beignets de maïs et de fromage pour les 500 hommes, femmes et enfants, nourriture offerte par des associations humanitaires.

Body Shop, deuxième plus grande franchise en cosmétique au monde avec 2.400 magasins dans 61 pays, a été fondé par feue Mme Anita Roddick et fait à présent partie du groupe L’Oréal.

Son image écologique caractéristique (il s’agit de la première chaîne de cosmétiques britannique à avoir introduit le concept de récipients rechargeables) a été préservée par L’Oréal et la firme continue à militer pour les droits des producteurs locaux. En juin 2007, lors de l’annonce de ses accords avec Daabon, Body Shop a appelé les fabricants et détaillants à suivre sont exemple, afin de ralentir les effets catastrophiques engendrés par la production non-renouvelable sur l’environnement et la société.

« Nous avons modifié toute notre gamme de savons, afin qu’elle soit produite à partir d’huile de palme provenant de l’une des plantations les plus durables, à savoir Daabon, en Colombie », peut-on lire dans un communiqué de presse. « Nous avons mis en place notre propre système d’inspection et avons visité la plantation, afin de garantir le maintien de la protection et du bien-être des communautés, des travailleurs et de la jungle environnante<. »

« Les impacts de la production sur les droits des populations indigènes engendrent souvent des conditions de travail misérables et ont de graves conséquences sanitaires pour les femmes travaillant dans les plantations », lit-on.

D’après le site Internet de la compagnie, Body Shop est actuellement engagé dans un commerce communautaire, impliquant de petits agriculteurs, des artisans traditionnels, des coopératives rurales, voire même des villages tribaux.

Daabon, producteur biologique certifié, est une société à gestion familiale fondée en 1914. Elle s’est cependant fortement développée ces cinq dernières années. Elle possède aujourd’hui 714 succursales en Colombie et 28 dans d’autres pays, dont les États-Unis, l’Allemagne, le Japon et l’Australie. On a pu également voir en photo une étreinte entre Alberto Davilla, le PDG de Daabon, et le président colombien Alvaro Uribe Vélez.

La demande d’huile de palme a augmenté considérablement ces 15 dernières années ; elle entre dans la composition de la margarine, des chips et du chocolat, mais aussi du savon, des cosmétiques et des biocarburants. L’huile est utilisée comme durcissant dans une large gamme de produits de soin. <497 produits lancés mondialement en 2007 en contenaient, par rapport à 246 en 2006, selon une étude de marché.

Cette augmentation a toutefois provoqué de violentes réactions au sein de groupes de protection de l’environnement, qui déplorent le fait que les forêts tropicales soient décimées pour faire place aux plantations, ce qui détruit l’habitat d’espèces en voie de disparition et provoque l’exil des populations locales.

Selon Greenpeace, l’industrie de l’huile de palme contribue à des émissions de carbone lorsque les producteurs créent de nouvelles plantations sur des tourbières, qui accumulent le carbone. Assécher et brûler ces tourbières pour y réaliser des plantations libère des gaz à effet de serre.

Ces protestations ont pris au dépourvu certains producteurs, car ceux-ci avaient, cinq ans auparavant, développé un système de certification pour la production d’huile de palme durable pour l’environnement.

Une porte-parole de Daabon a affirmé que la société n’avait jamais été impliquée dans aucune autre controverse agricole et qu’elle tentait de résoudre le problème par voie juridique et par une « assistance communautaire ». Selon ses dires, la société n’avait connaissance d’aucune revendication de la part des agriculteurs avant son acquisition des terres et elle avait entrepris toutes les étapes pouvant mener à un accord avec ces derniers.

Elle a ajouté que tout projet relatif à ces terres cultivables depuis juillet aurait empêché la destruction de zones protégées.

« Le groupe Daabon et ses filiales n’ont jamais pris part à aucun précédent conflit agricole et ne violeraient consciemment en aucune circonstance les droits des propriétaires terriens légitimes », explique-t-elle.

« (Une) entrevue sera consacrée à l’explication des projets de la compagnie relatifs à un modèle forfaitaire pouvant offrir aux communautés de ces régions un niveau de vie plus intéressant et de meilleures opportunités, semblables à celles mises en place dans la région Magdalena. »

Selon un porte-parole du Body Shop, ces terres litigieuses n’ont pas fourni d’huile pour ses produits.

« Body Shop s’est engagé dans la protection des droits de l’homme et dans le commerce équitable, et travaille en étroite collaboration avec les fournisseurs pour faire respecter nos valeurs. Nous sommes conscients des contradictions du droit foncier colombien ; nous travaillons en liaison avec nos fournisseurs dans cette région et surveillons rigoureusement la situation. »

Tout ne baigne pas dans l’huile

- L’huile de palme, une substance rougeâtre dérivée de la pulpe du fruit du palmier à huile africain, est largement utilisée comme huile de cuisson, ainsi que dans la production de détergents et de biocarburants.

- Cette huile est la cible des militants, car sa demande a induit la déforestation de millions d’hectares de forêts en Indonésie, en et en .

- À Bornéo, les bois de feuillus tropicaux sont décimés pour les plantations de palmiers à huile, provoquant des feux qui obscurcissent des zones entières de l’Asie du sud-est.

- L’ONU a déclaré que si le déboisement de Sumatra et Bornéo ne cesse pas, l’extinction de l’orang-outan pourrait être une réalité d’ici quinze ans.

[Prochaine action] : JIDA 2009

Ecrit le : 22/11/2009

http://journee-internationale-droits-animaux.org/images/poster_jida_miniature.jpg



LEST tiendra son dernier stand de l'année, le samedi 28 novembre Place du Huit Septembre à partir de 15h00 jusqu'à 19h00 à l'occasion de la Journée Internationale des Droits des animaux. Cette journée est très importante car elle sera relayée dans toute la France et dans le monde entier : photos

Pourquoi des droits pour les animaux ?
Nous savons aujourd’hui que les animaux souffrent. Pourtant, nous continuons à refuser de les traiter avec respect.

Considérés comme de vulgaires marchandises dont on peut user et abuser et non pas comme des êtres capables de ressentir notamment douleur physique et émotions, les animaux ne possèdent aucun droit à la vie ni à la liberté.

Au pays des Droits de l’Homme, comme partout dans le monde, les animaux sont notamment : élevés et tués pour leur chair, leur peau et leur fourrure ; martyrisés et torturés dans les laboratoires d’expérimentation pour des expériences cruelles et inutiles ; traqués au nom du sport (chasse, pêche…), exploités et maltraités pour les loisirs (cirques, zoos…).

Quels droits pour les animaux ?

Il ne s’agit pas de revendiquer le droit de vote pour les animaux, ce qui serait absurde, mais des droits fondamentaux leur permettant de vivre leur vie libres, sans avoir à subir souffrances, emprisonnement et mise à mort pour servir les intérêts des humains.

Tous ceux qui croient en la dignité et aux droits de l’Homme ne peuvent pas raisonnablement nier plus longtemps les droits fondamentaux des autres créatures vivantes et sensibles sous peine de faire preuve d’hypocrisie et d’injustice.

Voici la Déclaration Universelle des Droits des Animaux

Plus d'informations sur la campagne : JIDA

Pourquoi Lest tiendra son stand le 26 novembre et non pas le 10 décembre ?
La Mairie ne souhaite pas notre présence dans la ville en décembre car toute la ville est occupée par les chalets de Noël et il ne reste pas un petit coin de Besançon qui ne soit disponible pour nous... Qu'en pensez-vous ?
D'autre part nous avons été averti qu'aucun tract, ni affiche "de nature à choquer le public" ne sera toléré.
Si nous suivons cette logique nous serions en droit de demander à la Mairie d'interdire les stands de Noël qui vont exhiber les fourrures, les cuirs, le foie gras, les escargots, les saucissons, les huitres, etc... car cela nous choque et traumatise nos enfants pendant les fêtes de Noël où il n'y a que des cadavres partout.

Nous comptons donc sur votre aide pour que ce dernier stand soit très remarqué :
- si vous avez des contacts avec les médias n'hésitez pas à leur parler de nous
- Vous pouvez fabriquer des panneaux voici quelques idées
- Vous pouvez nous photocopier des tracts
- Vous déguiser
- Préparer une petite dégustation végane et l'apporter sur le stand
Toute initiative sera la bienvenue et nous vous en remercions d'avance.

Continuez à visiter notre site dans lequel nous relayons des informations, des articles, etc...et à nous contacter si vous avez des questions.

Nous vous remercions.

Contact: lest-asso@servhome.org




[Info] : Le codex alimentarius

Ecrit le : 21/11/2009


La Dictature Mondiale des Cartels
envoyé par NosLibertes. - L'actualité du moment en vidéo.




Dans le cadre de ce qu’on appelle le "Codex Alimentarius", une nouvelle directive européenne dont personne ne parle nous menace. Cette nouvelle directive de la commission européenne doit être mise en place au 31 démbre 2009 . Il est question de limiter considérablement, les substances autorisées dans les médecines alternatives et les suppléments alimentaires, comme les vitamines, indispensables à la santé . Il est à noter que la France, l’Italie et l’Allemagne ont pris l’initiative d’appliquer cette directive à partir du 31 décembre 2009, sans en informer leur citoyens .

Qu’est-ce que le Codex Alimentarius en d’autres mots le Code Alimentaire ?

Celui-ci trouve son origine en 1962 et fut crée par les Nations Unies pour établir des normes mondiales régissant tous les aspects de la production alimentaire, de la distribution au commerce.

S’il devient un sujet de controverse, ce n’est pas par simple hasard :

Les instigateurs de ce plan soutiennent avec leurs partisants qu’il ne s’agit que d’une série de lignes directrices pour faciliter des objectifs du commerce international.

Il est bien entendu que ceci s’inscrit dans un agenda caché, plus large et de contrôle des populations via le contrôle de l’alimentation.

Afin de faire avaler la pilule du codex alimentarius les planificateurs soutiennent que l’accord de libre échange nord américain dénommé NAFTA est rendu plus facile par le biais de ce code alimentaire parce qu’il fixe des normes de confiance assurant la qualité des produits alimentaires que nous importons et plus important que nous exportons.

Bref il s’agit une fois de plus qu’un système de contrôle, dont on verra que le but est de favoriser certains gros intervenants (multinationales) par un système extra-territorial imposé par des puissants lobbies directement sous la coupe de puissants groupes.

Qui dit contrôle dit perte de liberté dans le choix le plus élémentaire ici de l’alimentation.

Il y a de plus en plus de critiques qui estiment que le Codex Alimentarius dépasse largement le cadre de son mandat, ce qui en fait une menace et pourrait réduire de façon spectaculaire la santé publique et nos libertés à cet égard.

Car l’alimentation est la base de la santé, en influant sur celle-ci vous pouvez augmenter aussi les ventes de médicaments de groupes dont les liens sont historiquement en connection directe avec ces mêmes corporations du commerce alimentaire mondial, nous assistons de la sorte au partage de votre assiette alimentaire et des fondations de notre santé entre des cartels internationaux, dont l’actionnariat est issu de grandes familles aux plans EUGENISTES (Rockefeller) et ce historiquement sur notre planète.

On peut aussi mettre à charge le fait que les consommateurs avertis en matière de santé alimentaire vont petit à petit perdre des possibiltés d’accès à l’alimentation biologique (acquis pourtant de longue date) et à une nourriture organique ancestrale et voir se réduire comme une peau de chagrin l’accès aux suppléments alimentaires et herbes au fur et à mesures du durcissement orchestré mais discret des normes et contraintes que ce codex impose sous couvert du commerce international échappant de plus en plus aux états nationaux sous le couvert d’un niveau européen ou mondial.

60% de la population du monde dépend de médicaments à base de plantes ; ceux-ci ne seront pas, voire plus, en mesure de payer les médicaments qui remplacent ces plantes.

Il est évident que le codex alimentarius est une guerre contre l’accès à cette base ancestrale : les médicaments à base de plantes et l’alimentation biologique diversifiée, c’est l’aile ou la cuisse chimique contre la bonne tambouille... on ne va plus se faire bouffer tout cru, mais dissoudre dans de l’acide, dilué dans un premier temps ; puis par l’édiction d’un contrôle tous azimuts, sous couvert du bien être du commerce des multinationales échappant à tout contrôle démocratique, par la force de la puissance économique.

Les nouvelles lois exigeant des cultures génétiquement modifiées, des pesticides, des hormones et des antibiotiques dans les aliments auront un coût prohibitif pour les personnes qui vivent dans les pays en développement (que l’on cherche à contrôler) ; dans un premier temps des milliards de personnes vont disparaître à la suite de ces politiques eugenistes camouflées derrière ces limitations sous formes de normes.

Les nouvelles lignes directrices de ce codex sont influencés par les grandes compagnies en denrées alimentaires, chimiques, agricoles, et pharmaceutiques qui tirent profit de ces changements et utilisent une partie de leur profits pour de plus nous imposer de plus en plus de contrôle (utilisation de lobbies), ceci fait partie d’un fascisme corporatif international qui se met en place à notre insu par la promulgation de ce type de régulations en rien anodines.

Pour ce qui est des Etats-Unis d’amérique, il y a une forte probabilité que sans la participation des consommateurs, le congrès américain adoptera le Codex Alimentarius pour l’importation et l’exportation et ainsi l’édiction de normes, voire l’abrogation ou l’affaiblissement de manière significative de la dernière protection que constitue : le Dietary Supplement Health and Education Act (DSHEA) loi fédérale de protection du consommateur de 1994 ; ce DSHEA considère les suppléments nutritionnels et les herbes et denrées alimentaires en tant que tel ; pour le moment il n’y a pas de limite supérieure à la posologie de ces produits, mais cela pourrait disparaître.

Cette loi américaine protège aux USA les droits des américains en tant que consommateurs et garantit leurs droits jusqu’à présent mais pour combien de temps ?

Tant que cette loi reste en vigueur, les américains ne devront probablement pas trop se soucier en ce qui les concerne sur le caractère restrictif du Codex Alimentarius. Qu’en est-il pour l’Europe ?


L&rsquo;Ordre Moisi du Codex Alimentarius
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Et pour en savoir plus :

1) Le CODEX ALIMENTARIUS est le résultat concret et tangible du "travail" des controleurs mondialistes, il entre en application totale en France le 31 Décembre 2009,

Il faut savoir que la France a avalisé le codex...
+ D’INFOS SUR LE CODEX :

L'histoire officielle que l'on vous sert

Et la face cachée :
Aux sources du Codex Alimentarius, l'histoire inconnue de la naissance du Trust Mondial de la pharmaco-chimie


2) Le Codex Alimentarius autorise des niveaux élevés de 7 des 9 pesticides les plus toxiques au monde, dans notre alimentation. Ces composés sont très toxiques alors que la convention de Stockholm (PDF) a été créé pour les éliminer de la planète. Le Codex, toutefois, les autorise dans votre alimentation avec 206 autres pesticides toxiques. Les niveaux autorisés sont rien de moins que scandaleux.

http://www.healthfreedomusa.org/?page_id=170.

Source : Bellaciao, user.skynet.be. 26 mai 2009

[Info] : Histogramme comparatif des morts de la grippe A et des morts d'autres maladies

Ecrit le : 21/11/2009

Nous vous transmettons ce camembert significatif. Nous pensons qu'il se passe de longs discours et rend évident la manipulation du Gouvernement. Il nous a été transmis par Terre sacrée qui va porter plainte dans les prochains jours contre X auprès du Procureur de Var pour vaccination abusive et indécente.

http://lest-asso.servhome.org/upload/photo_up131.jpg


Film en 4 parties


Silence On Vaccine Part 1/4
envoyé par al-fred. - L'actualité du moment en vidéo.

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